• Accueil
    • Dial call girls


      Le sexe virtuel est omniprésent dans nos vies. Le sexe tout court d'ailleurs. Pas un kiosque à journaux sans que soient exposés à la vue de tous, et même des plus jeunes, des corps de jeunes femmes nues, des paires de fesses, des paires de seins disproportionnés. C'est pareil à la télé. C'est pareil sur Internet. Impossible d'ouvrir une page web sans qu'une pop up sexy s'affiche sur l'écran. Le sexe est partout. Ce qui est nouveau depuis quelques années c'est qu'il est devenu virtuel et très addictif.

      Pierre se ruine au tel rose

      Quand il a commencé à appeler le tel rose Pierre venait de se faire plaquer. Il avait envie de s'amuser un peu avec des animatrices cochonnes. Rien de plus. Petit à petit, il appela de plus en plus. Le soir, la journée sur son lieu de travail, le weekend, la semaine. En trois mois, il passait deux ou trois appels chaque jour. La note était de plus en plus salée. Forcément il aimait cela et connaissait toutes les animatrices. Il lui arrivait de papoter de la pluie et du beau temps avec elles... Les conversations étaient de plus en plus longues.

      Pierre perd son emploi

      Pierre travaillait comme soudeur dans une usine de sidérurgie. Il faisait des horaires de jour et des horaires de nuit. Alors qu'il était un employé modèle, son addiction au téléphone rose le transforma en un employé médiocre. Déconcentré car fatigué, il faisait du mauvais travail et arrivait de plus en plus souvent en retard. Une vraie catastrophe. Son patron lui mit un, puis deux avertissements. Enfin, il le mit à la porte. Pierre a été se faire soigner dans le sevice du professeur Berthin à Pau. Il n'est pas encore sorti d'affaire.